Chaque vie est précieuse. L’autisme n’est pas un trouble, c’est une différence.

Vous êtes soignant. Vous avez déjà vu, entendu, ressenti.

Vous accompagnez des enfants ou des adultes qu’on dit “autistes”.

Vous connaissez les silences. Les crises. Les incompréhensions.

Et peut-être parfois aussi, cette petite voix intérieure :

“Est-ce vraiment le bon cadre ? Est-ce que je comprends vraiment ce qu’il vit ?”

Ce projet ne vous accuse pas. Il vous tend la main. Il vous propose de changer de regard : ne plus voir un « trouble à corriger », mais une différence à comprendre, à accueillir, à accompagner.

Pour soigner autrement. Pour respecter davantage. Pour alléger les souffrances évitables.

Entre confrères, on partage plus qu’un métier : une éthique, une exigence, une humanité.

Vous êtes médecin.
Vous avez écouté, examiné, accompagné.
Et vous savez qu’un mot mal posé peut peser lourd. Qu’un regard juste peut tout changer.

Et si le regard posé sur l’autisme était à revisiter ?

Depuis toujours, on a parlé de trouble, de prise en charge, de réduction des symptômes.
Mais si une partie des difficultés n’était pas due à l’autisme lui-même,
mais à un environnement inadapté à une différence neurologique naturelle ?

Ce projet ne vient rien retirer à ce que vous avez appris.
Il vient proposer une autre grille de lecture, fondée sur l’observation, la recherche, et l’expérience humaine.

Il ne s’agit pas de rejeter le passé, mais de faire mieux, ensemble.
Pour nos patients. Pour leurs familles. Pour la santé publique. Et pour l’humanité.

Vous êtes peut-être déjà convaincu. Peut-être en questionnement.
Mais si vous êtes ici, c’est que vous êtes prêt à écouter, à comprendre, à soutenir.
Et cela change tout.

Cette pétition est là pour vous. Pour soulager. Pas pour compliquer.

Aujourd’hui, l’inclusion se fait au prix de souffrances silencieuses. Pour les personnes avec autisme, pour les autres élèves, et pour vous, enseignants. Des situations intenables, des tensions quotidiennes, et trop peu de moyens.

Ce n’est plus tolérable.

Des élèves avec autisme présents à temps complet, sans véritables adaptations.
Des classes qui s’épuisent.
Des enseignants qui s’épuisent, souvent seuls, sans formation ni soutien.
Et des enfants, tous les enfants, qui apprennent moins bien, dans un climat de tension.

Il est temps de changer de regard. Et de cadre.

Reconnaître l’autisme comme une différence neurologique, c’est accepter que les objectifs, les méthodes, le rythme et l’environnement doivent être repensés.

• Pour certaines personnes avec autisme, 3 demi-journées par semaine suffisent
• Les cours peuvent aussi avoir lieu hors les murs, en contact avec le réel
• Les évaluations doivent être individualisées et non comparatives
• Et les enseignants doivent être soutenus, formés, respectés dans leur réalité de terrain

La place des personnes avec autisme n’est ni dans des classes ordinaires à plein temps sans adaptation, ni dans des dispositifs à part sans interaction réelle.

Elle est dans une école repensée pour respecter les différences, et permettre à chacun de progresser sans se renier.

En signant cette pétition, vous agissez pour vos élèves, pour vous-même, et pour une école qui a du sens.

Vous êtes parent. Frère. Sœur. Grand-parent. Ami. Vous êtes concerné.

Vous connaissez les regards, les doutes, les nuits sans réponses. Vous avez traversé les bilans, les attentes, les rendez-vous où l’on vous parle de votre enfant sans vraiment parler à lui. Et parfois, ce que vous ressentez, c’est l’isolement.

Ce projet est né pour vous.

Il ne vous apporte pas de solution miracle.
Mais il vous donne un cadre clair, une parole forte, et une direction :

• Faire reconnaître l’autisme comme une différence, pas comme un trouble.
• Et ouvrir une voie d’accompagnement digne, humaine, et adaptée.

Signer cette pétition, c’est agir pour votre enfant… et pour tous les autres.

C’est dire :

“Je ne veux plus que mon enfant soit vu comme un problème à gérer.”
“Je veux qu’il puisse apprendre, grandir, s’épanouir, dans un monde qui comprend ses différences.”

Mais ce n’est pas suffisant de signer seul.
Il faut que nous soyons des milliers, puis des centaines de milliers.
Car seule la force du nombre peut faire bouger les lignes dans les écoles, les institutions, les lois.

Partagez autour de vous. Massivement. Humainement. Sans relâche.

Chaque personne que vous touchez peut signer :

• Votre voisin.
• Votre médecin.
• Le professeur de votre enfant.
• Votre famille, ici ou à l’étranger.
• Vos amis sur WhatsApp, Instagram, Facebook, ou dans la vraie vie.

C’est par vous que le changement se propagera.
Ce n’est pas une campagne institutionnelle. C’est un mouvement humain.
Et il commence avec vous.

Vous n’êtes peut-être pas concerné personnellement. Mais vous êtes concerné humainement.

L’autisme ne touche pas “les autres”.
Il traverse toutes les familles, toutes les générations, tous les pays.
Et il révèle quelque chose de profond sur notre société :

Sommes-nous prêts à accepter que tout le monde ne fonctionne pas pareil ?

Ce projet n’est pas réservé aux spécialistes ou aux familles.

Il s’adresse à vous, citoyen, éducateur, voisin, collègue, ami.
À vous qui pensez qu’on peut faire mieux que de classer, exclure ou étiqueter.
À vous qui croyez que la différence n’est pas une menace, mais une richesse.

Signer cette pétition, c’est choisir le respect.

• Respect des enfants différents
• Respect des familles
• Respect des enseignants et des professionnels qui veulent accompagner autrement
• Respect de ce qui fait notre humanité commune

Et surtout : faites circuler.

Même si vous ne connaissez personne avec autisme, vous pouvez être un relais précieux.
Un partage peut atteindre une famille isolée, un enseignant en questionnement, un professionnel prêt à s’engager.
Et ensemble, nous pouvons porter un message fort, clair, mondial :

Ce n’est pas un trouble.
C’est une différence.
Et cela change tout.

Vous êtes concerné·e directement par l’autisme. Vous savez ce que cela signifie, dans votre vie quotidienne, dans vos relations, dans votre parcours.

Trop souvent, on parle de vous sans vous écouter. Trop souvent, on vous décrit comme un problème à résoudre, un trouble à corriger.

Et pourtant, vous êtes bien plus que cela. Vous êtes une personne unique, avec une sensibilité, une intelligence et une richesse qui vous appartiennent.

Ce projet ne veut pas parler à votre place. Il veut faire entendre votre voix. Votre expérience, vos idées, vos mots comptent.

« Je ne suis pas un trouble. Je suis une personne. »
« Ma différence est une part de la diversité humaine. »

Vous n’êtes pas seul·e. Des milliers d’autres, partout dans le monde, partagent ce combat. Et ensemble, nous pouvons changer le regard, pour que plus aucun enfant, plus aucun adulte, ne se sente “anormal”.

Votre voix est précieuse. Faites-la entendre.

Dans toutes les religions, une vérité traverse les siècles : chaque vie humaine a une valeur sacrée et une dignité inaliénable.

Et pourtant, aujourd’hui encore, des personnes avec autisme et leurs familles souffrent d’exclusion et d’incompréhension. Elles cherchent un regard qui les reconnaisse comme des êtres humains à part entière. Elles cherchent un lieu de réconfort, une parole qui les accueille dans leur différence.

Par qui cette reconnaissance peut-elle venir, si ce n’est pas par vous ? Par qui cet accueil peut-il commencer, si ce n’est pas dans les communautés de foi, appelées à incarner justice, dignité et fraternité ?

L’autisme n’est pas un trouble à corriger. C’est une différence, inscrite dans la diversité de l’humanité.

Soutenir cette pétition, ce n’est pas un acte politique. Ce n’est pas un acte militant. C’est un acte profondément humain. Un acte de bon sens, en harmonie avec les valeurs spirituelles que vous proclamez déjà.

Votre signature est importante. Mais votre voix, et celle de vos fidèles, peut avoir une portée encore plus grande. « Plus il y aura de signatures, plus l’inclusion deviendra une réalité. »

Votre communauté peut devenir un relais d’espérance, un lieu où la différence est accueillie et où chaque vie est honorée.

Sur les bancs du collège, du lycée, de l’université, vous voyez les effets concrets du regard qu’on porte sur l’autisme : inclusion réelle… ou épuisement silencieux.

Votre génération peut faire bouger les lignes : comprendre, expliquer, relayer. L’autisme n’est pas un trouble : c’est une différence.

Politiques publiques, santé, éducation, collectivités : votre décision peut améliorer la vie de milliers d’enfants et de familles.

Reconnaître l’autisme comme une différence, c’est orienter les moyens vers l’accompagnement et l’adaptation, plutôt que vers la stigmatisation.